Rapport d'activité 2020

Alors que la promotion de la cagnotte bat son plein en ce début d'année 2020, l'association prépare activement pour Cassandre un concert prévu fin avril à Châteauroux : la situation politique et sanitaire en décidera autrement...

On se console sur les réseaux en diffusant les vidéos de Mathilda May et Frédéric Bouraly qui ont généreusement et très simplement répondu à notre appel en faveur de Cassandre. On le sait : ce genre de vidéos n'a que très peu d'impact sur la cagnotte et notre temps est trop limité pour assurer une diffusion plus large. Mais elles contribuent à maintenir autour de Cassandre une mobilisation indispensable et à gagner de nouveaux appuis.

Au mois de mai, l'association est contactée par le papa de Sandy, jeune femme handicapée d'Orléans dont le véhicule adapté vient de tomber en panne. On lance la machine : 20000 tracts, cagnotte, tirelires... Grâce au zèle de la famille de Sandy et au bon accueil de la population locale alertée par la presse, la somme nécessaire est réunie et un nouveau véhicule est acheté. voir article

Le temps passe, passe, passe... L'automne s'installe et la somme nécessaire au transport, à l'opération et à la longue rééducation de Cassandre n'est toujours pas réunie. Il faut encore attendre, d'autant plus qu'il devient compliqué de voyager à l'étranger. Mais Cassandre se porte bien et la prudence demande de repousser l'opération à l'année 2021.

Octobre. Alors que l'on ne peut toujours rien organiser et que l'on ronge notre frein, des miss, modèles et mannequins sont contactés : il s'agit, en vidéo, de donner des nouvelles de Cassandre et expliquer pourquoi l'opération ne peut pas encore avoir lieu. Soulignons ici l'empressement et la bonne grâce des filles à se prêter à ce petit jeu. Qu'elles soient mille fois remerciées ! (photos : des participantes, Julianne S. et Isabelle Oniro)

Nous n'oublions pas en fin d'année notre système de convention avec les étudiants de la santé : 500 € d'aide sont versés à une étudiante en ostéopathie, à charge pour elle, une fois le diplôme obtenu, d'offrir des consultations à des personnes qui n'ont pas accès à ce genre de soin (actes non remboursés par la sécurité sociale / personnes n'ayant qu'un accès limité au système de sécurité sociale français, comme les religieuses et religieux, exceptions mal connues !)